Bénéfice semestriel de 48,5 millions EUR grâce à la hausse des résultats des entreprises du portefeuille et à des désinvestissements rentables - La valeur de l'actif net progresse de 4,9 % (39,46 EUR par action). Bénéfice semestriel de 48,5 millions EUR grâce à la hausse des résultats des entreprises du portefeuille et à des désinvestissements rentables - La valeur de l'actif net progresse de 4,9 % (39,46 EUR par action). Bénéfice semestriel de 48,5 millions EUR grâce à la hausse des résultats des entreprises du portefeuille et à des désinvestissements rentables - La valeur de l'actif net progresse de 4,9 % (39,46 EUR par action).

Bénéfice semestriel de 48,5 millions EUR grâce à la hausse des résultats des entreprises du portefeuille et à des désinvestissements rentables - La valeur de l'actif net progresse de 4,9 % (39,46 EUR par action).

Corporate

Les résultats du premier semestre de l'exercice 2014-2015 portent sur la période du 1er avril 2014 au 30 septembre 2014.

Points clés (chiffres consolidés)

Résultats

  • Résultat net (part du groupe) : 48,5 millions EUR (ou 1,91 EUR par action).
  • Plus-values nettes réalisées : 24,0 millions EUR.
  • Plus-values nettes non réalisées : 24,0 millions EUR.

Fonds propres (au 30/09/2014) 

  • Valeur des fonds propres (part du groupe) : 1 003,3 millions EUR (ou 39,46 EUR par action), en hausse de 4,9 % s'il est fait abstraction du dividende distribué et de l'augmentation du capital dans le cadre du dividende optionnel.

Dividende

  • Gimv entend poursuivre sa politique de dividende actuelle.

Bilan (au 30/09/2014)

  • Total du bilan : 1 041,6 millions EUR.
  • Situation de trésorerie nette : 116,1 millions EUR.
  • Actifs financiers : 883,3 millions EUR.

Investissements

  • Investissements totaux (au bilan) : 28,4 millions EUR. Investissements supplémentaires par les fonds gérés par Gimv : 16,1 millions EUR.
    Investissements totaux (au bilan et via les fonds de co-investissement) : 44,5 millions EUR.

Désinvestissements

  • Recette totale des ventes provenant des désinvestissements (au bilan) : 138,3 millions EUR.
    Recettes complémentaires provenant des désinvestissements par les fonds en gestion : 18,6 millions EUR. Désinvestissements totaux (au bilan et via des fonds de co-investissement) : 156,9 millions EUR.
  • Produits provenant des désinvestissements : 22,0 % au-dessus de leur valeur comptable au 31 mars 2014 et un multiple de 1,7 x par rapport à leur valeur d'achat d'origine.

Commentaire

L'Administrateur délégué Koen Dejonckheere au sujet des résultats du semestre écoulé : « Après des années d'investissements nets et de renforcement du portefeuille, nous avons effectué, avec succès, quelques désinvestissements rentables au cours de cet exercice, en profitant notamment d'un contexte favorable. Dans les chiffres du premier semestre, cela se traduit par la réalisation de quelques belles plus-values. Par ailleurs, nous avons constaté une amélioration sur le plan opérationnel dans les entreprises du portefeuille, ce qui a eu un impact positif sur leur valorisation. Nous continuerons à développer notre portefeuille en exploitant les opportunités de croissance pour nos participations existantes, mais aussi en investissant dans d'autres entreprises prometteuses. »

Le Président Urbain Vandeurzen ajoute : « Les entreprises restent généralement confrontées à une faible croissance économique, ainsi qu'aux incertitudes et aux risques qui pèsent sur l'économie mondiale. Nous sommes par conséquent heureux de constater que les entreprises du portefeuille ont réussi à publier des résultats en légère hausse, principalement grâce aux efforts soutenus des entreprises elles-mêmes. C'est uniquement en jouant pleinement la carte de l'innovation, de l'internationalisation et des économies d'échelle que ces entreprises parviennent à continuer de croître tout en restant rentables. Nous allons donc continuer à nous concentrer sur la réalisation de nos choix stratégiques, tant au niveau du développement du portefeuille qu'au niveau du rayonnement international de l'organisation. Cela devrait nous permettre d'atteindre, comme ce fut le cas au cours du semestre écoulé, nos objectifs de rendement de manière durable. »